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Bons Baisers de Hong Kong


Bons Baisers de Hong Kong

Titre original : Bons Baisers de Hong Kong

Titre(s) alternatif(s) :Aucun

Réalisateur(s) :Yvan Chiffre

Année : 1975

Nationalité : France

Durée : 1h24

Genre : James Bond (mou) Triple Zéro

Acteurs principaux :Les Charlots, Mickey Rooney, Huguette Funfrock, David Tomlinson, Victor Israel

Nikita
NOTE
3/ 5


L'affiche allemande. Les Charlots sont des stars !


Je me souviens qu'un jour quelqu'un de Nanarland avait affirmé péremptoirement que « Le Grand Bazar » était le seul nanar des Charlots, tous les autres étant des navets. Je m’inscrirai en faux contre cette thèse qui tend selon moi à dévaloriser le travail considérable de ce groupe d’humoristes, qui dans les années 70-80 s’employèrent non seulement à discréditer le surnom de Charlie Chaplin, mais aussi à révolutionner le comique français en contribuant au développement de l’humour infra-nul. Catégorie très particulière et délicate tant la réception du mauvais comique dépend de la bonne humeur du spectateur, ce qui en fait le type de nanar le plus fragile et délicat. Car quoi de plus risqué qu’une mauvaise comédie ? On peut aboutir à de véritables tortures pour les nerfs du spectateur peu averti.


Quand James Bond est indisponible, il reste... Les Charlots !


Et pourtant, Les Charlots comptent à leur palmarès au moins un autre « joyau », un Objet Filmique Non Identifié, qui transcende leur médiocrité initiale d’humoristes pour parvenir à une quatrième dimension du cinéma comique : « Bons baisers de Hong Kong », mélange démentiel de comique franchouillard, de gags sans chute ni sens ni rime ni raison, d’espionnage parodique et de film de kung-fu, le tout secoué dans un shaker et mixé avec de vrais morceaux de star hollywoodienne et des cascades de Remy Julienne !


L'affiche française.


Le pré-générique donne le ton avec l’apparition d’un sosie de Richard Nixon (ça contribue déjà à dater le film), qui nous assure que toute ressemblance avec des personnes réelles serait une pure coïncidence. La caméra s’éloignant, Nixon se révèle être en caleçon. Voilà. En caleçon. Vous trouvez ça drôle ?


Richard Nixon (????)


Heu… Hé bien une partie de l’attrait du film réside là : nous ne cesserons de voir cohabiter durant tout le métrage des gags relativement réussis avec des « trouvailles » dadaïstes par leur nullité même, qui ne trouveront leur équivalent que dans la catastrophe « Les anges gardiens » de Poiré avec Clavier et Depardieu (tiens, un retour à Hong-Kong !) Le gag se retrouve souvent réduit à sa plus simple expression, sans justification dans le récit, ni timing, ni sens : "et là on va dire qu’il est en caleçon "; "et là, y’a quelqu’un qui pète" ; "et là y’a quelqu’un qui lui met la main au cul". Les auteurs semblent avoir pensé que la seule introduction, au hasard, d’éléments grotesques dans le récit suffirait à faire rire, sans qu’il y ait besoin de rajouter de l’humour ou de l’esprit. On est ici à un niveau très pointu de l’humour, celui de « l’infra-tarte à la crème », où le comique est à peu près du niveau des grimaces qu’on fait à un gamin de trois ans pour le faire rire.


Puisque nous parlons d’infantilisme, il faut quand même passer à l’étude du récit proprement dit, car là on est gâté tant cela ressemble à un très mauvaise BD parodique improvisée en un quart d’heure par un scénariste immature, pour un public d’attardés ! La Reine d’Angleterre (jouée par la française Huguette Funfrock, sosie très convaincant) est enlevée dans une scène indigne du pire épisode seventies de « Chapeau melons et bottes de cuir » (un hélicoptère miniature qui projette du gaz soporifique) (Note de Nanarland : Pas touche à Chapeau Melon... Nikita !).


Huguette Funfrock en concierge parisienne et en Elizabeth II.


Les autorités anglaises décident de cacher à tout prix la disparition de la souveraine, qui doit se rendre prochainement à Hong Kong, pour éviter une crise politique. C’est là qu’intervient le stratagème un peu embrouillé des auteurs pour faire intervenir la France (et donc les Charlots !) dans l’histoire : le chef des services secrets anglais (joué par Bernard Lee, le premier « M » de la série des James Bond), après avoir été informé par Moneypenny (Lois Maxwell : on continue dans les cameo des « vrais » personnages de James Bond) de la mort de James Bond quatre ans plus tôt (« Ha bon ? On me dit jamais rien ») décide de faire appel à son homologue français (Louis Seigner) afin de garder le maximum de discrétion au sein de ses services. On peut se demander pourquoi un pays, soucieux de cacher un événement à sa propre population, se dépêche d’en informer un autre pays, ami mais néanmoins étranger ! Passons.


En Italie, ce sont les 5 fous, même quand ils ne sont plus que 4 !


Clins d'oeil au vrai James Bond, avec des vrais acteurs de la série : le premier M (Bernard Lee) et la première Moneypenny (Lois Maxwell).


Louis Seigner, après s’être fait remonter les bretelles au téléphone par le Chef de l’Etat français (Giscard, imité par un mauvais clone de Thierry Le Luron), consent à venir en aide à ses homologues anglais mais décide, irrité, de mettre sur le coup ses pires agents : Les Charlots ! Et c’est à cette occasion qu’entrent en scène nos quatre héros, Jean Sarrus, Gérard Rinaldi, Jean-Guy Fechner et Gérard Filipelli, les quatres phylloxéras de l’écran, les torpilleurs de films, les fossoyeurs de gags ! Car ne nous voilons pas la face, au-delà de la crétinerie des scénarios et du relâchement des gags, le vrai carburant nanar des films des Charlots, ce sont les Charlots eux-mêmes !


Huguette et les Charlots font frire des sardines à Buckingham Palace. Puis ils rencontrent les Marx Brothers, comme ça, juste pour le plaisir de faire une référence.


Car nos quatre mousquetaires sont, de très loin, les acteurs les plus mauvais et les plus ectoplasmiques à avoir jamais tenu des rôles principaux dans le cinéma français ! A l’exception relative de Gérard Rinaldi – et si l’on veut bien reconnaître que Gérard Filipelli a une personnalité lunaire sympathique, à défaut de talent d’acteur – le quartette est si dénué de charisme et de présence à l’écran que les rôles pourraient tout aussi bien être tenus par des balayeurs que la production aurait recruté au hasard dans a rue, le matin même du tournage ! La palme revient à Jean-Guy Fechner (frère du producteur Christian Fechner, par ailleurs), un grand escogriffe brun si dénué d’expression que la Faculté devrait sérieusement étudier sa possible parenté avec la famille des amibes. On aura dû attendre les Yamakasi pour revoir une bande d’acteurs aussi inconsistants tenir la vedette au cinéma !


Affiche polonaise. La culture française s'exporte partout !


Les Charlots sont briefés dans la scène suivante par Louis Seigner, qui leur demande de trouver un sosie de la Reine d’Angleterre pour remplacer cette dernière dans ses déplacements. Et c’est Gérard Filipelli (le plus empoté des Charlots) qui reconnaît en Madame Loubet, femme de chambre du ministère, le sosie parfait de la Reine ! Ici apparaît (ou plutôt réapparaît) l’un des atouts du film, Huguette Funfrock. En effet, cette dame, dont la carrière d’actrice se résume à ses rôles de sosie d’Elizabeth II, se montre une comédienne sympathique et plutôt convaincante dans le rôle de Madame Loubet, piquant même la vedette aux Charlots dans toutes les scènes où elle apparaît ! Les Charlots se divisent ensuite en deux groupes : tandis que Sarrus et Filipelli tentent d’apprendre d’apprendre le maintien de Reine à la pauvre Madame Loubet, sous le regard navré de Sir John, diplomate anglais joué par David Tomlinson (interprète de Monsieur Banks dans « Mary Poppins »), Fechner et Rinaldi partent à la recherche des ravisseurs présumés. Un trio d'agents demeurés de la CIA tente de leur mettre des batons dans les roues pour embêter la France.


Le majordome de Buckingham :
"Je vous ai déjà vu, vous, non ? Vous êtes déjà venu à Paris ?"
"Une seule journée..."
"Vous travaillez ici depuis quand ?"
"1945".

Inutile en fait de résumer le film scène par scène sans ennuyer le lecteur : le récit, décousu au possible, n’est en fait constitué que d’allées et venues, de courses-poursuites entre les nombreux personnages, et de cascades d’autant plus spectaculaires (pour l’époque) qu’elles ne servent qu’à masquer la débilité du récit. Le réalisateur Yvan Chiffre, ancien cascadeur, ne semble se soucier que d’agiter ses personnages comme des pantins et de casser le maximum de trucs dans le décor. S’il y a un carambolage de voitures, on everra TRENTE voitures dans le décor. Si Gérard Rinaldi et Jean-Guy Fechner affrontent une bande de méchants, on leur enverra CINQUANTE karatékas ! (Le film a manifestement eu un gros budget : ils auraient peut-être pu payer un scénariste ??)




Faut que ça casse...


Le film a bien des défauts mais conserve malgré tout une bonne humeur assez constante, qui en fait un objet filmique assez difficile à détester, et le fait basculer dans le camp du nanar plutôt que du navet. En effet, un atout imparable permet au film de surnager : le potentiel de délire de son casting ! J’ai déjà cité plus haut les brèves apparitions de Bernard Lee et Lois Maxwell ; mais on retrouve, beaucoup plus longuement, un autre acteur de la vraie série Bond : Clifton James, shérif abruti dans « Vivre et laisser mourir » et « L’Homme au pistolet d’or », apparaît en effet dans le rôle du chef particulièrement grotesque des agents de la CIA , flanqué de deux comparses débiles (un gros appelé « Fatty » et un noir, également gros, appelé « Blacky ») , et qui se fera ridiculiser par les Charlots tout au long du film.


De la guest-star de prestige !


Mais le gros poisson du casting c’est la vedette américaine, LA star, la grosse pêche dont Christian Fechner devait être fier : Mickey Rooney, le nabot le plus célèbre du cinéma américain ! C’est lui, en effet, qui joue le méchant du film, un nommé Marty, riche excentrique amoureux fou d’Elizabeth II, et qui a enlevé cette dernière dans le but de la demander en mariage.L’apparition de Mickey Rooney aux côtés des Charlots est suffisamment absurde en soi pour ajouter au film un surcroît de piment nanar. Mais Rooney y met du sien et multiplie au carré le quotient de nanardise de son rôle. Visiblement peu convaincu par ce qu’on lui fait jouer, l’ex « Andy Hardy » se lâche complètement et se livre à un véritable festival de singeries qui donnent une nouvelle dimension au mot « cabotinage » : il danse, cabriole, grimace, tire la langue, pousse le cri de Tarzan, parle à la caméra, dans un numéro visiblement destiné, dans son esprit, à amuser des enfants de trois ans(l’idée qu’il se fait du public français ?).



Mickey Rooney assure comme une bête !


De surcroît, Mickey Rooney est secondé dans ses funestes desseins par son frère, Victor, joué par l’incroyable acteur espagnol Victor Israel. Abonné aux seconds rôles dans des films d’horreur espagnols, Israel, rougeaud, suant, grimaçant, d’une laideur dantesque, se déchaîne littéralement dans le rôle du sous-fifre demeuré, concepteur de gadgets invraisemblables (il y a quelques surprises bien nanardes, dont je vous laisse le plaisir de la découverte) et éclipse finalement Mickey Rooney, tant il semble plus convaincu que lui de son rôle de méchant ridicule.


Le fabuleux Victor Israel.


L’intrigue, comme il a été dit plus haut, est prétexte à une série de courses-poursuites et de gags hasardeux (dont plusieurs apparitions du sosie de Nixon, qui arrive comme un cheveu sur la soupe pour faire des commentaires complètement à côté de la plaque sur le déroulement de l’histoire). Difficile de dire à quel public s’adresse le film : si le scénario est d’une puérilité réservée aux 10-11 ans, certains gags un peu grivois (le film évite cependant la vulgarité, du moins en grande partie) visent apparemment un public plus âgé, sans jamais aller au-delà du niveau « pouet-pouet ». L’auteur de ces lignes, enchanté par ce film à l’âge de onze ans, peut cependant témoigner qu’il ne fait pas toujours bon le revoir au-delà de la pré-adolescence, sauf à le voir intégralement sous l'angle nanar.


Jeane Manson fait jolie dans le décor.


Un atout joue cependant largement en faveur de « Bons baiser de Hong Kong » : son budget ! Si, comme je l’ai déjà dit, une partie de l’argent aurait pu passer dans le salaire d’un bon scénariste (au moins pour réécrire l’histoire et améliorer les gags), l’effort fourni par Christian Fechner a permis de tourner à Hong Kong, lieu qui, pour la deuxième partie du film, semble avoir visiblement inspiré Yvan Chiffre. Nous avons en effet droit à quelques bonnes scènes d’action, tandis que le rythme prend un net coup de fouet avec les rôles des alliés chinois des Charlots, la très jolie Li (Kuan Shang, habituée des films d’arts martiaux, créditée au générique comme « Shan-Kwang Ling Fung ») et surtout « le Vieux Fu » (ouaff, ouaff !), octogénaire monté sur ressort, joué par Siu Tien Yuen (alias Simon Yuen), vétéran du cinéma de HK et de l’opéra chinois qui fut notamment le maître en arts martiaux de Jackie Chan dans «Le Maître chinois» ("Drunken Master"). Rappelons au passage que l'un des fils de Siu Tien Yuen n'est autre que Yuen Woo Ping, réalisateur et chorégraphe de combats passé depuis à Hollywood où il est l'un des directeurs de scènes d'action les plus cotés ("Matrix" et "Kill Bill", notamment). Ses autres fils (notamment Yuen Shun-Yee et Yuen Cheung Yan) mènent quant à eux des carrières d'acteurs dans le cinéma d'action de Hong Kong. Un petit peu sous-employé, Siu Tien Yuen compose cependant un personnage très sympathique (plus attachant que les Charlots!) et nous démontre le temps d'une trop brève scène ses étonnantes capacités de gymnaste.


Les Charlots, avec Simon Yuen.


Les effet comiques restent cependant partagés entre gags réussis, gags miteux (quelqu'un met la main au cul de David Tomlinson : si on voulait m'expliquer ce que ça a de drôle) et trouvailles totalement dénuées de sens qui, par leur ratage même, font basculer le film dans une sorte de surréalisme, notamment, dans un studio de cinéma (hommage à la Shaw Brothers?) que traversent les héros, l'apparition de deux chinois déguisés en Laurel et Hardy !


Fiers d'avoir alpagué une star hollywoodienne, les Charlots posent avec leur trophée.


Sans être mieux construite ni tenir véritablement debout, l’histoire prend du peps supplémentaire, ce que ne réussissent pas à atténuer certains gags inutiles ou piteux, ni des intrigues supplémentaires totalement dispensables : Jeane Manson fait ainsi une apparition dans le rôle d’une chanteuse correspondante malgré elle de la CIA (le trio de grotesques menés par Clifton James a fait le déplacement à Hong Kong) Rôle assez peu nécessaire au déroulement de l’intrigue, mais qui permet malgré tout de la voir en petite tenue. Notons également une apparition de Léon Zitrone en honorable correspondant français à Hong Kong particulièrement sous-équipé. Bref, au rythme de gags et de poursuites d’une relative frénésie, les Charlots et Sir John finissent par mettre la main sur l’hurluberlu Mickey Rooney : ayant reçu un choc sur la tête, ce dernier est amnésique, ne reconnaît plus la Reine, et se lance dans un numéro de comédie musicale totalement pataphysique. Elizabeth II, enfin libérée, félicite Les Charlots et Sir John, et demande à Madame Loubet de la remplacer à l’occasion à Buckingham. Gérard Rinaldi emballe Jeane Manson, ce qui n’est pas juste ; Jean-Guy Fechner emballe Kuang Shang, ce qui est ENCORE moins juste, et Victor Israel, dégoûté, a le mot de la fin : « Il faut être complètement cinglé pour vouloir enlever la Reine d’Angleterre ! ».


Les Charlots font du kung-fu !



...mais y'a pas à dire, Kuan Shang se débrouille quand même mieux.


Vingt-huit ans après, alors que le souvenir de l’heure de gloire des Charlots se fait de plus en plus imprécis, il convient de voir « Bons baisers de Hong Kong », malgré toutes ses imperfections (litote) comme une de leurs tentatives les plus intéressantes, pour une fois presque exempte de vulgarité, tant l’affection pour le cinéma de genre, qu’il s’agisse de l’espionnage ou du film de karaté, est palpable, jusque dans l’avalanche de guest-stars « référentielles » (Tomlinson, Bernard Lee, Lois Maxwell) sans parler du sur-emploi jouissif d’un Victor Israel halluciné et hallucinant. L'emploi judicieux d'acteurs de cinéma de genre (Kuang Shang est particulièrement à son avantage, notamment dans une scène de combat assez croustillante, où l'on voit également Fechner et Rinaldi faire du kung-fu!) plaide en la faveur d'Yvan Chiffre. A voir donc, comme une curiosité témoin d’une certaine époque du cinéma comique français, où le divertissement se concevait comme un joyeux bordel, avec ses ratages, ses réussites, mais toujours un visible plaisir d'amuser le public. Rien que pour ça, on est près, si l’on est de bonne humeur, à avoir de nouveau onze ans, à oublier la crétinerie du scénario, le ratage pesant de certains gags, et à reprendre en chœur avec Gérard Rinaldi l’énorme chanson du générique, tandis qu’elle défile sous fond de générique « Bruce Lee » : « HONG KONG ! FROM HONG KONG WITH LOVE ! »


Ca fait toujours de chouettes vacances aux frais de la production en tout cas...


Le générique nous apprend que l'attaché de presse du film n'était autre qu'André Bézu. Oui ! LE Bézu de « A la queue leu leu », qui n’était pas encore chanteur ! Ca vous pose un film.
Ha oui, une dernière chose : bravo Huguette Funfrock, vous êtes la meilleure Elizabeth II du cinéma. FUNFROCK POWER !
Note de Nanarland : A noter que dans ses mémoires, Jean Sarrus révèle que le voyage à Hong Kong a surtout été l'occasion pour les Charlots d'aller expérimenter les mythiques fumeries d'opium chinoises. Ceci expliquant-il cela ?

- Nikita -
Moyenne : 1.86 / 5
Nikita
NOTE
3/ 5
Rico
NOTE
2/ 5
Peter Wonkley
NOTE
1/ 5
LeRôdeur
NOTE
1/ 5
MrKlaus
NOTE
2.5/ 5
John Nada
NOTE
1/ 5
Zord
NOTE
2.5/ 5

Cote de rareté - 1/ Courant

Barème de notation
Vous pourrez retrouver ce film dans la collection "Cinérire" de "Studio Canal" (y compris dans plusieurs coffrets incluant notamment « Le Grand Bazar ») qui réédite allègrement tous les succès du comique français seventies. Seul bémol, outre la franche laideur du packaging, l'absence des bonus accompagnant le film. On était quand même en droit d'espérer quelque chose de plus festif !




Seul le coffret récent de 4 films a un packaging digne de ce nom, mais hélas pas de bonus.