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Le glossaire du Pr. Ryback

Y comme …

Q (ou : érotisme nanar)





Le sexe n'est pas forcément un élément nanar très reconnu mais le mauvais dosage de l'érotisme (acteurs peu convaincus, effets de mise en scène ratés, dialogues débiles) peut dynamiser considérablement le potentiel d'un film. Les oeuvres érotiques de Max Pécas ("Je suis une nymphomane") comptent notamment davantage de scènes nanardes à proprement parler que ses comédies. On peut également s'amuser de l'excessive gratuité de scènes manifestement rajoutées pour meubler, sous les plus fallacieux prétextes.



La scène érotique de "La Revanche de Samson", plagiat hallucinant de celle de "9 semaines et 1/2" est un exemple particulièrement extrême d'érotisme nanar. Le plan nichon est l'un des éléments érotiques les plus récurrents. La sexy comédie italienne est un exemple de fusion parfois particulièrement explosive entre l' humour et l'érotisme nanars.



Ici, la combinaison érotisme + action se veut explicite jusque dans le titre.







Un peu de fesse dans un film d'horreur, ça détend : un zombie aquatique amateur de chair fraîche dans "Le Lac des Morts-Vivants".





Richard Harrison donne de sa personne dans "Les Plaisirs d'Hélène", de Joe D'Amato





Jaquette néerlandaise du "Journal érotique d'un bûcheron", de et avec Jean-Marie Pallardy.



Voir également : Nudie, X (film classé), Decamerotico.