Code Apocalypse

Une super espionne du FSB, en sous-vêtements la moitié du temps, affronte Vincent Perez en banquier du terrorisme islamiste qui s'est procuré des bombes atomiques, le tout produit par le fond de soutien au cinéma patriotique russe (dixit le générique). Dit comme ça, ça pourrait être sympa mais hélas, après un début pyrotechnique en fanfare qui envoie au passage des taquets aux Américains, ça retombe très vite, entre balade touristique aux quatre coins du monde et scènes de blabla interminables, pour un résultat bien ronronnant.