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Nos chroniques Nanars gnangnan

Le nanar ce n'est pas que de l'action basse du front pour des gars qui en ont. C'est aussi de l'amuuur, des chansons, du sport et des dessins animés spécialement concoctés pour vriller le cerveau de nos petites têtes blondes. Car le nanar se consomme aussi en famille.

Les mauvais mélos, les films d'amour ratés, c'est toujours ennuyeux ? Faux ! Certains peuvent receler des trésors de rigolade. Et quand l'érotisme est de la partie, le nanar n'est jamais bien loin.
Magique
Nanars puberto-formatés : prenez un(e) p'tit(e) jeune passionné(e) en qui personne ne croit qui va se faire ridiculiser dans le premier tiers du film et sombrer dans les affres du doute avant qu’un charismatique entraîneur ne lui redonne confiance et motivation... On peut, sans trop se mouiller, citer la moitié de la filmo de Sly Stallone dont le Rocky 4 fait aujourd'hui office de mètre-étalon-italien en la matière.
Casse-cou pour l'Enfer
Avis aux internautes dont la nanarophilie se double d’une mélomanie un rien déviante. Pénétrez ici dans l’univers insoupçonné des West Side Story de supérette, rejetons bâtards de La Fièvre du Samedi Soir et autres aberrations chantantes et dansantes repoussant toutes les limites du kitsch. Hard-rock, rap, disco... le nanar musical n'est pas sectaire !
Hard Rock Zombies
Le nanar, ce n'est pas que pour les grands ! Dessins (mal) animés, mélos sirupeux dégorgeant de bons sentiments, cours de morale assurés par de vrais héros positifs, n'hésitez plus : initiez vos enfants au mauvais goût dès le berceau !
Santa Claus