Surfant sur le succès des films de Romero, kyrielle de réalisateurs peu inspirés et désargentés adoptèrent le zombie comme nouveau monstre de compagnie. Plus gourmand en chair humaine qu'en budget "effets spéciaux", le zombie cannibale à la démarche hésitante, avatar de la terreur bon marché, est vite devenu au mauvais film d’horreur fauché ce que le ninja est au film d’action ringard : un gage de nanardise.
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