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La Pension des Surdoués


La Pension des Surdoués

Titre original : La Pension des Surdoués

Titre(s) alternatif(s) :Les sous-doués à la retraite

Réalisateur(s) :Claude Plault (Pierre Chevalier? Olivier Mathot?)

Producteur(s) :Marius Lesoeur

Année : 1980

Nationalité : France

Durée : 1H24 ?

Genre : Sous Max Pecas (Godfrey Ho fait des émules)

Acteurs principaux :Alphonse Beni, Charlotte Jullian, Daniel Darnault, Claude Valmont

LeRôdeur
NOTE
0.5/ 5


Juin 2002, l'été se profile doucement à l'horizon, la France se remettait de la gueule de bois des dernières élections présidentielles... Pendant ce temps le rôdeur traitait enfin les vrais problèmes préoccupant la France : la carrière cinématographique de Charlotte Jullian...
La Pension des Surdoués (1980, la bonne époque !)
Si vous le voulez bien, faisons le point sur le générique et la distribution (si ça vous gave, passez directement à la chronique plus bas)
Réalisation : Claude Plault alias Olivier Mathot
Claude Plaut sous le pseudo d'Olivier Mathot est un des acteurs récurrents de chez Eurociné. Il lui arrive fréquemment de passer discrètement derrière la caméra quand un réalisateur se désiste ou va cuver. Il est, après Pierre Chevalier et Jess Franco, un des piliers des réalisations de la société indépendante Eurociné.. Le doute persiste pour savoir si ce n'est pas Pierre Chevalier (alias Peter Knight mais aussi parfois Lina Cavalcanti) qui a réalisé ce truc. Il est toujours très difficile de savoir qui fait quoi chez Eurociné. Il a donné indistinctement dans le polar, la comédie, l'horrifique ou l'érotisme. Il restera sans doute dans l'Histoire comme le metteur en scène de quelques films du comique Fernand Raynaud dans les années 50 et 60 (« Fernand clochard », « Le Mouton »…).
Scénario :Marius Lesoeur
Marius Lesoeur est le fondateur de la société de production Eurociné. Nous lui avons abondamment rendu hommage sur ce site.
Interprétation :
  • Charlotte Jullian (la vieille fille)
    Charlotte Jullian, originaire de Perpignan, fut une célèbre comique de la chanson, de la télévision et du théâtre de boulevard de la fin des années 70 et du début des années 80. On se souvient de ses apparitions dans l'émission "Les jeux de vingt heures", de ses chansons "Fleur de province" ou "Viens poupoule" (une reprise de Jack Lantier), de son duo avec Patrick Topaloff ou encore de son fameux rôle de bibliothécaire acariâtre dans « Profs » de feu-Patrick Schulmann. Elle continue aujourd'hui à chanter dans les bals et les fêtes de province.


  • Daniel Darnault (le facteur / le prostitué)
    Héros de ce film et de « Hommes de joie pour femmes vicieuses » (du même cinéaste), Daniel Darnault a été revu dans des rôles minuscules comme dans « Coup de tête » où il interprète un policier qui emballe Patrick Dewaere, également aux côtés de Roland Magdane dans « Cherchez l'erreur » (Korber) ou encore dans « Il y a des jours et des lunes » (Lelouch). On avait parlé de lui comme d'un possible second rôle aux côtés de Michel Piccoli et d'Anna Falchi dans un film de Jean-Marie Pallardy, « Amours parallèles ». Quand les grands esprits se rencontrent...


  • Claude Valmont (le cantonnier)
    Claude Valmont a figuré dans des films made in Eurociné dont quelques films de guerre tendance nazisploitation.

  • Edmond Besnard (le bistrotier)
    Egalement à l'affiche de films de chez Eurociné comme « A l'Est de Berlin » (Franco) ou bien « Le Lac des Morts-Vivants » à lancer son célèbre Promizoulin, il semblerait qu'Edmond Besnard ait également donné dans le film cochon (mais dans des non-sex rôles je vous rassure !).

  • La chronique :
    Ce film, on s'en serait douté, est un des éléments à charge à verser au dossier bien épais du film comique français de série Z, genre également connu sous le vocable de comédie franchouillarde, appellation tout à fait inexacte quand on sait que Les Charlots sont des demi-dieux en Inde et que le talent de Max Pécas est reconnu partout en Europe. Et ma foi, tout y est :
    - Le titre, d'abord, plagie ouvertement celui d'un film de Claude Zidi (« Les Sous-doués »), c'est déjà bon signe. Notons au passage que cette brillante idée a été recyclée par le très grand Michel Gérard pour un mémorable « Surdoués de la première compagnie », brontosaure du rire qui, lâché dans le marécage du comique troupier, a laissé pour les générations futures sa large empreinte dans la vase.
    - La distribution, ensuite, catapulte Charlotte Jullian nouvelle vedette des salles obscures où le tout-Paris vient se bidonner. Or, chacun sait que la rencontre des icônes de la télé avec le Septième Art produit régulièrement des miracles. Il suffit d'avoir vu Nagui dans « Une femme très très très amoureuse » pour s'en convaincre.
    - Le scénario, enfin, est un des modèles les plus achevés de la vague du comique en uniforme et, plus spécialement ici, du comique à base d'employé de la Poste, un genre qui a produit son lot de chefs-d'œuvre, du référentiel « Facteur de Saint-Tropez » avec Paul Préboist jusqu'à plus récemment le très fin « Promotion canapé » (par respect, on évitera de citer le beaucoup trop talentueux Jacques Tati et son « Jour de fête », hors concours).


    La France éternelle.


    Mais ce n'est pas tout d'être un film plein de promesses, encore faut-il les tenir. Et il faut bien reconnaître que « La Pension des surdoués » nous en donne pour notre argent (2,28 € la vidéo chez Cash Converters, à ce prix là, c'est vrai qu'on a tendance à beaucoup pardonner, mais tout de même…). Car ce film nous gratifie d'au moins deux séquences nanardesques qu'on pourra qualifier d'anthologiques le jour où les anthologies auront le bon goût d'être rédigées par des dingues.
    L'histoire est celle d'Adrien qui exerce le métier de facteur dans la commune de Bolbiquette-sur-Aude (rires !). Bolbiquette-sur-Aude est une ville qu'on aura bien du mal à situer sur une carte de France. D'abord parce que son nom ne figure sur aucun atlas, et ensuite parce que si tout porte à croire que Bolbiquette-sur-Aude est dans l'Aude et bien en fait, non ! Cela serait trop simple, or la vie n'est pas simple. Les lettres que distribue le facteur portant le code postal de 46 795, Bolbiquette-sur-Aude est donc dans le Lot. Quoique. Pas vraiment non plus, tout compte fait. Car si les habitants de Bolbiquette-sur-Aude vivent dans le Lot, la poste de Bolbiquette-sur-Aude, elle, est située dans l'Essonne. On voit en effet très distinctement et à plusieurs reprises le facteur sortir d'un bâtiment au fronton duquel est inscrit Soisy-sur-Ecole, le nom d'une commune du 91, pas loin d'Evry. Un facteur d'une ville de l'Aude qui doit se rendre tous les jours chercher son courrier dans l'Essonne puis le distribuer dans le Lot et tout cela sur un pauvre petit vélo tout pourri, moi je dis bravo. C'est le genre de gars qui mérite une médaille.


    Le facteur de Bilboquette et sa belle casquette... rien qu'à son regard, on comprend tout de suite à qui on a à faire.

    Hips !
    Il a dû faire des étincelles à son Certificat d'Etudes celui-là !


    Et c'est sans doute pour cela qu'Adrien est une star dans son village. Car oui, notre facteur, malgré un physique plutôt ingrat, est un véritable Don Juan qui accumule les conquêtes sous les yeux médusés du cantonnier. L'entière population féminine de Bolbiquette rêve secrètement d'Adrien, et spécialement Mademoiselle Du Merle de la Tour, la vieille fille autoritaire, dévote et laide qui dirige la chorale du couvent. On aura reconnu Charlotte Jullian…


    …et son arrivée est un soulagement pour le spectateur.


    Parce qu'il faut bien l'avouer, cette « La Pension des surdoués » est dans son ensemble une succession de gags inopérants lourdement aggravée par une réalisation tâcheronne. Dans ces conditions, voir débarquer la bouille rigolote et l'accent chantonnant de notre Charlotte Jullian nationale fait l'effet d'une bouffée d'oxygène. Et Charlotte va brillamment s'acquitter de son rôle de star en tirant le film vers le haut pendant une bonne trentaine de minutes. Ce qui était un navet ennuyeux va se transformer par la grâce de sa présence en un bon gros nanar des familles. Et ça, c'est pas du tout pareil ! Charlotte est un véritable catalyseur de talent capable de sublimer le dialogue improvisé et de dégripper la réalisation d'un coup. Le metteur en scène, totalement vampirisé par son actrice, va même se laisser aller à un plan-séquence de plus de 5 minutes (c'est vrai quoi, pourquoi se faire chier avec le montage ?!), ébouriffant de génie, qui ne sera pas sans nous rappeler les très fameuses réalisations statiques d'Au théâtre ce soir.
    Première séquence d'anthologie, donc : la scène se déroule dans la maison de Charlotte Jullian. Ne manquant pas de malice, elle y a attiré le facteur grâce à un habile stratagème : elle s'est envoyée à elle-même une lettre recommandée. Le facteur arrive, Charlotte quitte ses charentaises et met ses plus beaux souliers. Le facteur lui donne sa lettre et fait mine de s'en aller. Charlotte le retient en lui offrant un coup de rouge :
    - Un apéritif ?
    - Pourquoi pas !
    (ils boivent)
    - Encore un doigt ?
    - Je ne dis pas non !… Mais ce n'est pas un doigt que vous me versez là, c'est une main entière !
    - Oh ! vous alors, facteur, comme vous êtes spirituel !


    Un apéritif ?
    Pourquoi pas !


    Encore un doigt ?
    Je ne dis pas non...[les Nuls n'ont rien inventé !]


    Puis le facteur fait de nouveau mine de partir. Charlotte le retient une nouvelle fois en lui montrant une collection de timbres (on passe un certain nombre de pays en revue pendant une bonne minute) puis lui avoue son amour pour les facteurs et leurs si belles casquettes (zoom sur la casquette). Enfin, pour le faire craquer définitivement elle lui offre un cadeau :
    - C'est du pâté de Perpignan !
    Le facteur n'en revient pas (et nous non plus !). Mais soudain l'horloge
    sonne. Charlotte s'affole :
    - Horreur ! Il est onze heures ! Il faut que nous nous quittions.
    - Très bien, je vous laisse.
    et nos deux héros de conclure :
    - Au revoir Adrien ! Je peux vous appeler Adrien ?
    - Mais oui ! c'est mon nom !
    Sur quoi, le facteur s'en va en oubliant son pâté.
    Bref, c'est intense. Et ce n'est pas fini, on n'est encore que dans le premier quart d'heure : il reste plus de 50 minutes de vide sidéral du même tonneau, c'est à la fois terrible, éprouvant, hypnotique, chiantissime et indigent à un point tel que ça devient une expérience proprement surréaliste qui provoque une sorte de malaise tenace entrecoupée de quintes de rires nerveux, comme ces fous rires malsains qui vous prennent en cas de trop grands chocs émotionnels. Je ne raconterai toutefois pas la suite en détail car il faut en laisser la surprise aux éventuels acquéreurs de l'objet (avec qui je compatis d'avance !).

    Attention ! La série d'images ci-dessous contient un gag littéralement irrésistible !

    Un gag d'une subtilité rare...

    C’est aussi dans ce genre de gag que s’incarne le génie d’un peuple !


    Au surplus, il me faut bien l'avouer, je n'ai pas vu ce film en entier. (Ouah l'aut' eh! Il chronique des films qu'il a même pas vus ! Feignant va !) Oui, mais j'ai une excuse : au beau milieu, Charlotte Jullian disparaît purement et simplement sous un fallacieux prétexte scénaristique qui fait retomber illico l'intérêt du bestiau mais arrange bien en revanche les intérêts du producteur. Au milieu du film, en effet, notre gentil facteur décide de quitter sa province et sa Charlotte Jullian pour rejoindre la capitale afin de s'initier aux mystères du courrier à deux vitesses (?!). Manque de chance, sitôt arrivé à Paris, il échoue dans une bien curieuse maison (la pension des surdoués, d'où le titre) qui s'avèrera être une maison de passes où des dames de la haute viennent prendre du bon temps en se payant les faveurs d'un quarteron de bellâtres. Cet étrange revirement de scénario est en fait prétexte à nous refourguer des séquences d'un autre film (« Hommes de joie pour femmes vicieuses ») qu'avait réalisé le même Claude Plault alias Pierre Chevalier cinq ans auparavant pour le compte de la société Eurociné, également productrice de cette comédie.


    Apparition involontaire d'Alphonse Beni.


    Recycler de vieux films pour en faire de nouveaux, en changeant le titre et en tournant quelques scènes supplémentaires, était un procédé courant dans les séries Z, et particulièrement chez les Français d'Eurociné. Un jeu de Meccano cinématographique qu'on pourra considérer, au choix, comme une arnaque totale ou comme une fascinante expérience constructiviste, tel le sculpteur Rodin rajoutant des membres à son Torse d'Adèle pour en faire "La chute d'un ange" et "L'éternel printemps" (je dis ça histoire de faire le kéké culturé au cas où on voudrait me faire un procès pour crime contre le mieux-disant culturel). Quoiqu'il en soit, la combine fonctionne très mal ici. Parce que tout cela est, d'une part beaucoup trop voyant, d'autre part parce que pour rester tout public il a dû être procédé à un nettoyage par le vide de toutes les scènes scabreuses que devait compter initialement « Hommes de joie pour femmes vicieuses », nettoyage effectué par un Leatherface de la pelloche venu s'initier aux joies du montage à la tronçonneuse.


    Magie des films 2 en 1 : Daniel Darnault avec plus ou moins de cheveux selon les séquences…


    La dernière partie du film devient donc un collage de scènes décousues se déroulant entièrement dans la salle d'attente d'une maison close. Et au bout de dix minutes de ce régime, il vous vient très vite le réflexe d'appuyer sur la touche avance rapide du magnétoscope pour zapper sur la fin de la bande…


    Et à la fin de la bande y'a Charlotte Jullian qui réapparaît en costume de majorette, se contorsionnant comme c'est pas permis sous les yeux pétillants d'amour du facteur Adrien. Et puis c'est la fin (mouais, j'ai quand même dû rater un épisode à force de jouer avec la touche avance rapide).


    Eh ! ho ! et la deuxième séquence d'anthologie alors ?!


    Eh bien elle se trouve après la fin du film, je n'ose pas dire pendant le générique car il n'y a pas de générique mais simplement un écran noir. Par contre il y a du son (forcément ! parce qu'un écran noir sans le son c'est très moyennement anthologique, comme truc…) et quel son ! Avis à la population : « La Pension des surdoués » offre à tous ceux qui ont accompli l'exploit de parvenir jusqu'au terme cette aventure sans craquer nerveusement UNE CHANSON TOTALEMENT INEDITE DE CHARLOTTE JULLIAN !!!. Le collector absolu qu'on ne trouvera sur aucun vinyl et a fortiori sur aucun CD. Charlotte Julian, celle-là même qui a écoulé pas loin d'un million de 45 tours de "Fleur de province", ici, pour nous, chantant pendant près d'une minute trente son amour pour les facteurs en faisant rimer casquette avec bicyclette voire avec Bolbiquette. Et là, quand on entend les paroles et la mélodie, on dit merci à la vie ! (ou alors adieu et on saute par la fenêtre, au choix).
    Notons pour finir que la vidéo a été étalonnée à partir d'une copie du film très gravement endommagée. Tâches, rayures et pilosités suspectes s'ébattent joyeusement sur l'écran. Au stade où on en est, on peut considérer cela comme un bonus-produit.
    Conclusion :
    Doit-on considérer ça comme un nanar ?
    C'est une question polémique. Je me remercie de me l'avoir posée. Habituellement le nanar fait rimer rire et plaisir. Or ce film c'est objectivement tout le contraire : 30 minutes de comique sans gags (pas de rire) suivies de 30 minutes de porno sans fesse (pas de plaisir). Je me garderai donc bien de conseiller ce film à quiconque. En revanche, subjectivement, le caractère no limit de cette oeuvre qu'on hésitera même à qualifier de cinématographique peut intéresser les plus aware : les amateurs de Charlotte Jullian bien sûr, ceux qui peuvent s'amuser de gags tellement déplorables et mal réglés que même Benny Hill n'a jamais osé les faire, les amateurs de bizarreries vraiment très limites, ceux qui veulent tester leur résistance nerveuse, ceux qui calent leur armoire normande avec des VHS ou encore ceux qui pensent que Max Pécas constitue le summum du comique ringard et qui découvriront que non, on peut toujours faire pire, et même cent fois pire, la preuve !
    Note de nanardise : 0,5 sur 5 (pour Charlotte et la scène du pâté de Perpignan et parce que c'est un film que je n'oublierai pas de sitôt, sans doute le plus mauvais qu'il m'ait été donné de voir dans le genre, et pourtant Dieu sait qu'à l'époque de la 5 de Berlusconi on voyait des trucs piteux, des « Soldat Duroc ça va être ta fête » aux « Prends ta Rolls et va pointer » et j'en passe).
    Précisions :
    « Hommes de joie pour femmes vicieuses », le film érotique dont une partie du métrage a été détournée, est un film de Pierre Chevalier. Une partie des images auraient donc été tournée par lui. Sachant en outre que Chevalier avait débuté dans les années 50 en tournant des comédies excessivement médiocres avec Fernand Raynaud, il a très bien pu revenir à ses premières amours en tournant aussi la partie "comédie" (celle avec Charlotte Jullian) huit ans plus tard. C'est ce que présume Le Rôdeur, qui dit reconnaître le style mou de Pierre Chevalier dans les 2 parties du métrage (avant de concéder que ça n'est pas vraiment une preuve car beaucoup de films Eurociné sont mous !). En effet, s'agissant d'un film Eurociné, il est fort possible que plusieurs personnes aient mis la main à la pâte. En outre, Olivier Mathot était quelque chose comme l'employé à tout faire d'Eurociné et s'est occupé de terminer certains films de la boîte, comme l'horrible « Les Diamants du Kilimandjaro » de Jess Franco. Mystère donc, y'a plus qu'à mettre la main sur Daniel Darnault pour lui demander ! (sachant qu'Olivier Mathot a la réputation de raconter des carabistouilles...).

    - LeRôdeur -
    Moyenne : 1.71 / 5
    LeRôdeur
    NOTE
    0.5/ 5
    John Nada
    NOTE
    2.25/ 5
    Nikita
    NOTE
    2/ 5
    Rico
    NOTE
    1/ 5
    Labroche
    NOTE
    2.5/ 5
    MrKlaus
    NOTE
    2/ 5

    Cote de rareté - 5/ Pièce de Collection

    Barème de notation
    Alors celui-là si on le voit ressurgir en DVD un jour, c'est que la fin du monde n'est plus pour très loin ! Trois VHS peuvent se trouver (difficilement, c'est du collector) chez "Sweet Home Vidéo" (jaquette noire) puis chez "Century Vidéo" (jaquette verte) qui est en fait la collection VHS d'Eurociné, ainsi que chez "Arwen International" (jaquette bleue).




    Dernière minute, notre camarade Walter G. Alton a découvert l'artefact suivant en Belgique :


    Il est écrit "après le succès retentissant des Sous-doués voici la suite de leurs aventures délirantes". Ils ont juste du confondre Daniel Darnault avec Daniel Auteuil, Charlotte Julian avec Maria Pacôme et ... Alphonse Beni avec Honoré N'Zué. C'est crédible et c'est sorti chez "A Video Group Selection".